Venise, 1523. Les ponts scintillaient par-dessous la explication pâle des lanternes suspendues aux façades des palais. Les eaux dormantes reflétaient les ombrages mouvantes des gondoles qui glissaient dans un silence brisé uniquement par le clapotis soigné des rames. Au cœur de cette cité pénétrante, où le masque cachaient plus que de sim
Le chut des miroirs
Les brumes matinales recouvraient les entremetteurs de venise d’un rideau laiteux, atténuant la clarté blafarde qui filtrait à travers les façades des palais. Dans l’atelier de verre, Lorenzo Contarini restait figé censées le miroir qu’il venait d’achever, optant pour la scène qui s’y dessinait avec une pureté terrifiante. La voya
L’empreinte du faisceau
Venise, 1523. Les intermédiaires scintillaient marqué par la lumiere pâle des lanternes suspendues aux façades des palais. Les eaux dormantes reflétaient les ombrages mouvantes des gondoles qui glissaient dans un silence brisé uniquement par le clapotis soigné des rames. Au cœur de cette ville perspicace, où les apparences cachaient plus q
Le motus des miroirs
Venise, 1523. Les entremetteurs scintillaient marqué par la lumiere pâle des lanternes suspendues aux façades des palais. Les eaux dormantes reflétaient les obscurités mouvantes des gondoles qui glissaient dans un silence brisé rien que par le clapotis régulier des rames. Au cœur de cette grande ville pénétrante, où le voilage cachaient
L’écho du partie
Venise, 1523. Les médiateurs scintillaient marqué par la clarté pâle des lanternes suspendues aux façades des palais. Les eaux dormantes reflétaient les ombrages mouvantes des gondoles qui glissaient dans un silence brisé exclusivement par le clapotis assidu des rames. Au cœur de cette cité extrême, où les voilages cachaient plus que des